Zoom sur les Yamaha MT-09 et MT-07

La gamme MT de Yamaha suscite les critiques des professionnels. On a vite fait de remarquer la différence entre les deux sœurs, qui semblent à première vue identiques. La MT-09 fait toutefois une belle apparition sur le marché des gros roadsters, et les retours sont positifs, dotée de trois cylindres de 889 cm3 et d’une puissance de 118 chevaux, on s’accroche une fois les pieds dessus, ça risque de décoiffer. En dépit de ses qualités impressionnantes, c’est la MT-07 qui vole la vedette en 2021. Elle emprunte audacieusement les lignes de la MT-09 tandis qu’elle se distingue par son bicylindre de 689 cm3 sur ses 74 chevaux. On n’a qu’une seule envie, la chevaucher pour prendre la route à toute vitesse.

La Husqvarna Norden 901

Déjà en 2019, la moto se fait connaître au salon EICMA de Milan, et le succès est immédiat. On attend donc impatiemment la sortie officielle de cette version hallucinante de deux roues, profitant d’un design original et moderne, un bijou qui plaît à coup sûr les grands connaisseurs. La marque n’a plus à refaire sa réputation, Husqvarna est sur le devant de la scène depuis sa dernière émergence. Le fabricant n’a pas manqué de mentionner que la Norden 901 s’équipe d’un moteur KTM 890 Adventure, de 105 chevaux, un point de plus qui rassure les futurs acheteurs. Promettant une expérience sensationnelle, ce modèle peut trôner sans doute sur le marché des trails.

La Triumph Trident 660

Sur le marché de moyenne cylindrée, on n’est pas au bout de nos surprises, il n’y a qu’à revoir le budget pour cette année. Entre budget vacances, l’acquisition d’un nouveau véhicule et factures gonflées, il y a de quoi avoir des palpitations ! Mais en termes de palpitation, la Triumph Trident 660 fait fondre les cœurs. Ce modèle est très attendu en 2021. La marque anglaise nous suggère une machine hors pair, se distinguant par son prix exorbitant, le nouveau trois cylindres sera de taille face à la concurrence, il n’a rien à envier aux précédents modèles. A côté, l’Aquilla Tuono 660 s’impose sous un aspect plus sportif, mais aussi le Ducati Monster. Son prestige n’est pas en jeu, sa valeur reste invincible avec ses 81 chevaux.

Des véhicules bridés à 30 km/h

Conduire une moto électrique sans permis est une excellente solution pour les jeunes qui souhaitent gagner en indépendance. Plusieurs types de véhicules sont notamment proposés par les grandes marques comme zero motorcycles, Super Soco, etc. Retrouvez sur https://www.purerider.fr/ une large gamme de motos électriques de styles et de marques différents. Cela va d’un modèle plus sportif ou plus citadin, voire en version petite mobylette. Tout est une affaire de goût.

Il faut noter que ces véhicules sont bridés à 30 km/h maximum avec une puissance qui ne doit pas dépasser les 4 000 W, soit l’équivalent de 50 cc de cylindrée s’il s’agit d’un scooter à moteur thermique. A part cela, il y a également quelques normes à respecter pour la conduite de ces engins pour assurer la sécurité de tout le monde.

Moins chère, la moto électrique sans permis ne coûte que 2 500 euros en moyenne. Quelques enseignes vous proposent même de louer votre véhicule à moins d’une dizaine d’euros la journée. Dans les deux cas, on vous conseille de tester les bolides avant de faire votre choix afin de vous assurer un maximum de confort et une facilité de prise en main sur la route.

Comment conduire une moto électrique sans permis dans le centre-ville ?

La moto électrique sans permis fait partie des nouveaux dispositifs de transport personnel écologique. À l’instar des vélos électriques, elle est soumise à des règlements stricts, notamment pour une conduite en centre-ville. Elle ne peut être utilisée que sur les pistes cyclables, les chaussées et les routes. Certaines, qui disposent notamment d’une vignette Cirt’Air, peuvent aussi circuler sur les voies réservées. Il est interdit dans tous les cas d’emprunter les trottoirs.

Il est aussi obligatoire de porter un casque lorsque vous êtes sur votre moto électrique. Cela vous assure votre sécurité sur la route. Le reste de la parfaite panoplie du motard n’étant pas obligatoire : les gans, les lunettes, etc.

Quelques documents obligatoires tout de même

Si les jeunes peuvent conduire certains modèles de moto sans permis, il n’en demeure pas moins qu’en cas de contrôle routier, quelques documents sont obligatoires. Comme vous le savez, aucun véhicule n’est autorisé à circuler en France sans un certificat d’immatriculation. Si vous avez loué votre moto électrique, la carte grise doit être au nom de l’entreprise de location.
Par ailleurs, vous devez également avoir une assurance moto en cours de validité. Cette dernière prendra en charge les réparations en cas d’accidents, vol ou autres incidents. Encore une fois, si vous choisissez de louer votre engin, il est de la prérogative de l’entreprise de location de s’assurer du paiement des cotisations.

Les pneus sportifs

Il faut savoir que les pneus sportifs sont conçus pour une utilisation dans des conditions bien précises. Cela nécessite un suivi constant de la pression ainsi qu’une adaptation aux circonstances. En général, ces types de pneus fonctionnent de manière optimale à une température qui est comprise entre 80 et 110 °C. Néanmoins, il faut faire plusieurs kilomètres par temps sec et chaud pour atteindre cette plage de température. L’avantage de ces pneus est leur vivacité sur les changements d’angle et la bonne adhérence sur leur angle maximal (40 à 50 degrés d’inclinaison). Avec un temps humide et une pression inadaptée et des gommes à moins de 40 °C, les pneus sportifs deviennent alors moins performants.

Les pneus routiers

Ces dernières années, on constate des progrès technologiques incroyables dans le procédé de fabrication des pneus routiers. Aujourd’hui, les pneus de nouvelle génération comme les PR 4 et Road 5 permettent d’avoir des niveaux de performance proches des pneus de type sport. Outre le fait d’avoir une longue longévité avec une gomme résistante, une carcasse rigide et des rainures profondes, les pneus routiers sont aussi performants même en basses températures.

Les agences de reprise

Ce sont des entreprises qui se spécialisent dans le rachat de motos (ou de voiture). Mais avant de reprendre une quelconque moto scooter, ces agences examinent d’abord l’état du deux-roues, puis proposent un prix correspondant. Parmi les nombreux services de reprises, le choix se fait souvent en fonction de leur localisation. Une fois que vous avez choisi votre agence, il reste encore à formuler l’objet de fil et de fournir une description de la moto à vendre. Le spécialiste va par la suite examiner la valeur du scooter et vous proposer une fourchette de prix. Selon leur proposition, vous pouvez abandonner la négociation si le tarif ne vous convient pas. Si l’agence vous fait une offre avantageuse et formelle, alors vous avez fait une bonne affaire d’autant plus que les démarches administratives seront bien remplies.

Les magasins de dépôt-vente

L’un des moyens pour vendre une moto scooter d’occasion est d’engager un intermédiaire sous contrat. Cela va faciliter la mise en vente de votre deux-roues. En effet, le magasin de dépôt-vente va se charger de la plébisciter. Comme documents obligatoires que vous devez fournir pour attester l’état de la moto, il y a la carte grise, le certificat de cession et le certificat de non-gage. Si vous êtes d’accord avec les termes du contrat (durée de service, la rémunération du professionnel, le prix de vente, etc.), le magasin de dépôt-vente va alors s’occuper de vendre votre scooter d’occasion dans les meilleures conditions possibles.

La carte grise

La carte grise est un document qui permet de connaître « l’identité » d’une voiture ou d’un deux roues. Elle renferme toutes les informations concernant le scooter comme la marque, le modèle, le nombre de chevaux, etc.

Lorsqu’une personne vend son scooter, elle doit barrer la carte grise et mentionner la date de vente et de cession. L’heure et la date doivent y être ajoutées. Le vendeur doit également apposer sa signature. Il ne doit pas non plus oublier de couper le coin supérieur droit de la carte.

Le nouveau propriétaire doit, de son côté, faire une demande de nouvelle carte grise. Aujourd’hui, les démarches sont facilitées puisqu’elles peuvent se faire en ligne. Il faut juste saisir toutes les informations en ligne et vous obtiendrez votre nouvelle carte grise pour scooter en seulement 24 h. Assurez-vous tout simplement d’opter pour un prestataire agréé ou un site de confiance comme celui de l’Agence nationale des Titres Sécurisés (ANTS).

Le certificat de cession

Le certificat de cession est en quelque sorte un contrat de vente. Il doit être rempli par les deux parties. La remise de ce document garantit la légalité de la procédure de vente. Lors de l’élaboration du certificat de cession, le vendeur doit en faire trois exemplaires qui sont à remettre à l’acheteur, à la préfecture (dans un délai de 15 jours après la vente) et au vendeur. L’acheteur doit également remettre la copie du certificat de cession à l’assureur par lettre recommandée.

Sachez que la déclaration de cession peut également être faite en ligne. Vous pouvez le faire en cliquant ici. Le certificat de cession obtenu revêt quelques « fonctions » spécifiques :

• Il permet d’informer la préfecture sur la transaction et le changement de propriétaire du scooter
• Il donne la possibilité au nouveau propriétaire d’immatriculer et d’obtenir une nouvelle carte grise
• Il acquitte le vendeur de toutes les responsabilités (délits, infractions, contraventions, etc.)

Le certificat de non-gage

Le certificat de non-gage est un document requis pour la vente d’un scooter. Appelé également certificat de situation administrative, il renferme des informations sur la situation administrative du scooter ou du cyclomoteur. En d’autres termes, ce document permet de savoir si aucun élément administratif n’empêche la revente et le transfert de carte grise.

Les cas qui empêchent la finalisation d’une transaction peuvent se présenter sous forme d’amendes non payées, de crédits non remboursés. Le certificat de non-gage est le seul moyen de lever les oppositions ou de payer toutes les sommes dues auprès des organismes (banques, prêteurs, huissiers, etc.).

Le vendeur peut récupérer un certificat de non-gage pour un scooter en ligne, auprès de la préfecture ou en faisant une demande par courrier postal.

Les autres documents requis

En plus des documents obligatoires cités précédemment, d’autres éléments peuvent être demandés par le nouvel acquéreur. Il s’agit généralement des diverses factures liées à l’achat du scooter, le carnet d’entretien, la notice constructeur. En cas de scooter gravé, le vendeur devrait remettre une attestation spécifique permettant au nouveau propriétaire de vérifier la fiabilité et la crédibilité du prestataire.

Le motocross de compétition

Depuis, ce sport a pris de l’ampleur, d’abord en Grande-Bretagne puis en France et a connu de plus en plus d’essor dans toute l’Europe centrale pour finalement gagner les Etats-Unis où se trouvent d’un très grand nombre de pratiquants. On peut qualifier le motocross comme étant un sport mécanique. Il se pratique sur une moto non homologuée mais qui est retouchée de manière à ce qu’elle puisse résister aux chocs violents et rouler sur des terrains et surfaces difficiles. Sur n’importe quel circuit se trouvent des obstacles, notamment des sauts simples, doubles ou triples, quelquefois quadruples. Puis, il y a ce qu’on appelle la table, le camel jump et les whoops, ces petites bosses que l’on voit surtout en supercross.

Comment le pilote doit-il s’équiper ?

L’équipement d’un pilote de motocross lui sert de protection et est obligatoire. D’abord le casque intégral homologué et parfois doté d’une minerve. Un casque classique ne fait pas l’affaire, car le casque spécial motocross présente une mentonnière plus prononcée et il ne possède pas de visière, ce qui oblige le pilote à porter des lunettes ou un masque adapté. Cette dernière caractéristique permet au pilote de mieux respirer. Puis, il doit posséder des genouillères, intégrées dans le pantalon dans certains cas, amovibles et conçues dans des matériaux rigides et légers. En fait, cette rigidité associée au rembourrage protège des appuis pointus (caillou,…) Pour les reins, il faut une ceinture élastique et rigidifiée destinée à maintenir le dos, utile notamment en cas de mauvaise réception pour éviter le déplacement des vertèbres. Ensuite, il y a le pare-pierre conçu pour protéger le haut du corps, surtout les pectoraux et le dos.

D’autres parties de l’équipement

Le pilote de motocross doit porter une minerve, faite de mousse et de plastique et à poser sur l’épaule, dont le rôle est de protéger les cervicales en cas de chute. Son équipement doit comporter aussi un gilet de protection, une espèce d’armure censée protéger son buste, son dos, ses épaules et ses coudes. Quant au pantalon, il doit être rembourré afin d’absorber des chocs, être taillé dans des matières imperméables et légères pour que le pilote ne soit pas gêné dans ses mouvements. Toujours pour protéger au maximum le dos, le pilote ne doit jamais oublier de porter sa dorsale. Les gants sont également indispensables, d’un côté pour qu’il puisse s’accrocher au guidon sans se faire du mal et pour qu’il ne se blesse pas les mains s’il en vient à tomber.

GPS moto : les différents types

Bien qu’au départ, les GPS moto n’ont pas eu un succès franc, les choses ont bien évolué, et, aujourd’hui, de très nombreux motards possèdent un GPS moto. D’autres changent même de modèle pour avoir le meilleur, le dernier cri. Les fabricants et les marques exploitent ce nouveau filon et mettent à la disposition des utilisateurs de nombreux types de GPS moto. Vous pouvez donc en trouver sous plusieurs formes. Le premier type le plus rencontré, c’est le GPS moto standard. Il est généralement sûr et optimisé, vous pouvez donc vous en procurer un sans problème. Puis, il y a le smartphone avec application GPS moto, qui est très utilisé également, mais avec des fonctionnalités limitées. Le fait est que votre smartphone peut ne pas résister aux pluies, neige et soleil. Et puis, les cartes intégrées ne sont pas forcément mises à jour ni complètes. Ce qui diminuera certainement votre plaisir de conduite.

GPS : les critères de choix

Quels critères devraient guider votre achat de GPS moto ? En fait, tout dépend de vos besoins réels, de la fréquence de vos sorties, et du type de vos sorties. Personne ne peut donc vous imposer votre choix, cependant, certains critères peuvent vous aider à vous décider. Certains sites récapitulent tous les critères à considérer pour faire le bon choix. Par exemple, informez-vous si les cartes sont gratuites, et à vie, car, normalement, toutes celles des GPS moto devraient être ainsi. Vérifiez si vous pouvez manipuler le GPS même ganté et vérifiez de même toutes les fonctionnalités offertes, si elles correspondent à ce que vous cherchez. Est-ce que le GPS désiré est étanche et résiste au carburant comme à tous les temps ? Enfin, comparez les prix et voyez ce que vous pouvez vous procurer en fonction de votre budget.

Remplir un formulaire d’extension de permis de conduire

C’est l’ANTS qui se charge de délivrer les permis de conduire et leurs extensions. Il faut aller sur le site ants.gouv.fr pour faire une souscription. Après avoir créé un compte, vous devriez suivre les démarches. Suivez les consignes propres à la plateforme. Les instructions sont explicites pour faciliter la tâche aux usagers. Allez à l’onglet ajout de nouvelles catégories de permis existants. La validation de votre requête peut attendre quelque temps. Lorsque l’administration donne suite à votre demande, vous devriez faire le nécessaire pour passer la catégorie de permis souhaitée. Il est aussi plus facile de se rapprocher directement d’une auto-école. Cette dernière se charge du volet administratif. Elle dispense également les cours théoriques et pratiques que vous devez suivre. Un examen comme pour le permis B termine la procédure.

Passer les épreuves pour avoir davantage de catégories

Souvent, les conducteurs commencent par le permis B. Ce dernier vous autorise à conduire une voiture de moins de 3,5 tonnes. Pour passer à un gros 4×4 ou un mini-van, il faudra passer le permis C. Cette catégorie est délivrée aux conducteurs de plus de 21 ans. Les titulaires du permis B peuvent aussi obtenir l’autorisation de se mettre au guidon d’une moto. Pour cela, il faut 2 ans de conduite et suivre une formation de 7 heures. Demandant de l’expérience de la route, les permis de conduire F, E et D s’adressent tous aux conducteurs de poids lourds. Ils requièrent une bonne condition physique attestée par un certificat médical. Ce document devrait être délivré par un médecin reconnu par la sous-préfecture.